Archive: 2025年9月26日

Comprenez la logique clé de l’encre UV à travers ses cinq composants essentiels

L’encre UV est devenue un consommable incontournable de l’impression numérique (publicité, emballage, matériaux de construction) grâce à ses atouts : « sans COV, polymérisation instantanée et compatibilité multi-supports ». Ce guide simplifié explique ses composants clés et les forces de SUPERINKS pour aider les professionnels à faire des choix éclairés.

Les 5 composants essentiels de l’encre UV

1. Résine photopolymérisable (30 à 50 %) : « l’ossature du film »  

Un polymère de faible masse moléculaire (1 000–5 000 Da) doté de doubles liaisons acryliques, formant un film solide sous rayonnement UV (200–400 nm). Elle détermine la dureté, la flexibilité et l’adhérence :  

– PUA : flexible et résistante aux chocs (idéale pour le PVC, le cuir).  

– EA : dure et résistante aux produits chimiques (pour boîtes métalliques, verre).  

– PEA : économique (pour emballages papier/carton).  

Avantage SUPERINKS : mélange PUA + monomère renforçant (ratio 6:4) résiste à 100 pliages à 180° sans fissuration, résolvant ainsi le problème des craquelures sur supports flexibles.

2. Photoinitiateur (5 à 15 %) : « l’interrupteur de polymérisation »  

Déclenche la réticulation résine/monomère sous UV :  

– Type radicalaire (184, 1173) : polymérisation rapide (1–3 s), compatible avec lampes LED-UV et mercure (choix majoritaire).  

– Type cationique : faible rétraction mais lent (5–10 s), coûteux, réservé à l’impression de précision.  

Avantage SUPERINKS : système composite « 1173 + TPO » (ratio 5:3) augmente l’absorption de 35 %, polymérise en 3 s (LED 80 W) avec une économie d’énergie de 25 %.

3. Colorant (5 à 25 %) : « la source de couleur »  

– Pigments (particules de 0,1–1 µm, choix principal) :  

  • Inorganiques (blanc de titane, noir de carbone) : excellente tenue à la lumière (classe 7–8, usage extérieur).  

  • Organiques (bleu phtalocyanine) : couleurs vives (couvrent 90 % des teintes Pantone, nécessitent stabilisants UV).  

– Teintures : transparentes mais faible résistance à la lumière et à l’eau (usage intérieur temporaire).  

Avantage SUPERINKS : pigments BASF/DuPont + broyage nano (0,3–0,5 µm), saturation +15 % ; décoloration < 5 % après 6 mois d’essais en extérieur à Guangzhou.

4. Monomère (10 à 30 %) : « le cœur régulateur »  

Diluant réactif (sans COV) au lieu de solvants volatils :  

– Monofonctionnel (2-EHA) : faible viscosité (5 mPa·s), flexible (évite le décollement sur PP/cuir).  

– Difonctionnel (HDDA, TPGDA) : équilibre viscosité/polymérisation (compatible avec 95 % des têtes d’impression piézoélectriques, impression sans bouchage pendant 8 h).  

– Multifonctionnel (TMPTA, DPHA) : polymérisation rapide, dureté élevée (dureté 4H au crayon, résistant à l’usure sur métal/verre).  

Avantage SUPERINKS : sans solvants illégaux (toluène), teneur en COV = 0,1 g/L (conforme à la norme GB 38507-2020), évite le colmatage des têtes d’impression.

5. Additifs (1 à 5 %) : « les solutionneurs de défauts »  

– Dispersant (BYK-163) : empêche l’agglomération des pigments.  

– Agent de nivellement (BYK-333) : réduit la tension superficielle (38 → 32 dyn/cm).  

– Antimousse (BYK-052) : élimine les piqûres (impression à 1440 dpi).  

– Antioxydant/stabilisant UV : ralentit le vieillissement.  

Avantage SUPERINKS : ajout supplémentaire de HALS 770 (1,2 %) maintient Δb < 0,8 après 1 000 h au test à la lampe xénon (moyenne industrielle : 1,5).

Conclusion  

Choisir la bonne encre UV réduit les coûts et les litiges. SUPERINKS se concentre sur la « valeur client » grâce à des composants optimisés, des encres sur mesure et un support 24h/24. Contactez-nous pour l’adaptation à vos supports ou des demandes d’encres personnalisées – avançons ensemble dans l’impression numérique !

Régulateur intelligent coordonné par forme d’onde, température et tension — Encre « SUPERINKS »

Dans les imprimantes numériques, la forme d’onde, la température et la tension forment un système interconnecté en boucle fermée qui détermine collectivement les performances de la tête d’impression, notamment la précision des gouttelettes, la stabilité et l’efficacité d’éjection. Leur relation fondamentale : la forme d’onde est l’ossature de la logique de contrôle, la tension exécute la forme d’onde, et la température affecte indirectement leur alignement en modifiant les propriétés de l’encre et de la tête d’impression. Voici une analyse concise :

I. Forme d’onde et Tension : Lien Direct Commande-Exécution

La tension exprime physiquement la forme d’onde, la forme d’onde définissant les paramètres de tension (pic, durée, forme de l’impulsion) et la sortie de tension validant l’efficacité de la forme d’onde :

1. La forme d’onde dicte le profil “temps-intensité” de la tension.

Une forme d’onde est une courbe tension-temps. Par exemple, son “impulsion principale d’éjection” utilise une haute tension (30–50V) pour activer les cristaux piézoélectriques, expulsant des gouttes de volume prédéfini ; une “impulsion d’amortissement” subséquente (5–10V) supprime les vibrations résiduelles, empêchant les “gouttes satellites”. Le pic de tension, le timing et la pente sont réglés avec précision via les paramètres de la forme d’onde (ex. V1/V2, t1/t2).

2. La tension doit correspondre aux besoins énergétiques de la forme d’onde.

Les formes d’onde dépendent de la tension pour délivrer l’énergie d’actionnement (≈ tension²×temps/résistance). Une tension insuffisante provoque des gouttes sous-dimensionnées ou des bouchons ; une tension excessive risque la surchauffe, des dommages à la tête ou une dispersion désordonnée des gouttes.

II. Température : Façonnage Indirect de la Compatibilité

La température perturbe l’équilibre forme d’onde-tension en modifiant les propriétés de l’encre et de la tête, nécessitant des ajustements :

  • Effets sur l’encre :
    • Températures élevées (>35°C) fluidifient l’encre, risquant des bordures floues ou un dépôt résiduel. Correctifs : impulsions plus courtes, tension plus basse ou amortissement plus fort.
    • Températures basses (<25°C) épaississent l’encre, causant des bouchons ou des impressions pâles. Correctifs : impulsions plus longues, tension plus élevée ou impulsions pré-éjection (bursts).
  • Effets sur la tête d’impression :

Les températures élevées rendent les cristaux plus déformables (amplifiant la force de tension) ; les températures basses les rigidifient (affaiblissant la force). Ainsi, l’intensité tension/forme d’onde doit diminuer dans la chaleur et augmenter dans le froid pour stabiliser les gouttes.

III. Équilibre Dynamique : Contrôle en Boucle Fermée

Les imprimantes utilisent capteurs et algorithmes pour synchroniser les trois :

  • Déclencheurs de température : Des capteurs (±1°C précision) ajustent forme d’onde/tension si températures sortent de 25–35°C, maintenant les gouttes stables.
  • Fluctuations de tension : Les algorithmes modifient la durée d’impulsion pour maintenir l’énergie (plus longue pour basse tension, plus courte pour haute tension).
  • Limites de sécurité : Les formes d’onde plafonnent la tension à haute température (ex. ≤30V à 50°C) et raccourcissent les impulsions à haute tension (ex. 60V) pour prévenir les dommages.

Choisissez SUPERINKS pour une Synergie Fluide

La stabilité de l’encre est primordiale – et SUPERINKS excelle ici :

  • Résistance à la température : Formule exclusive limitant les variations de viscosité à ≤8% (35–50°C) et ≤12% (0–25°C), bien meilleure que les encres standard (20–30%/25%), réduisant les ajustements de forme d’onde/tension.
  • Compatibilité tête d’impression : 500+ tests avec Epson I3200, Ricoh G5, Konica 1024 assurent un appariement parfait de tension superficielle, avec <2% de déviation de goutte sur ±20°C. Détails plus nets, transitions de couleur plus lisses.
  • Gains coût/efficacité : Viscosité stable réduit les ajustements de tension, diminuant la fatigue des cristaux de 30% (prolongeant la durée de vie des têtes de 4 000 heures) et abaissant le gaspillage/coûts opérationnels de 15–20%.

Résumé

Forme d’onde = “plan”, Tension = “force”, Température = “environnement” – SUPERINKS harmonise tout. Choisissez-nous pour une impression précise, efficace et rentable.

Analyse de la Relation entre la Viscosité de l’Encre, la Température et la Tension de Buse dans les Imprimantes Numériques

Lors du fonctionnement des imprimantes numériques, il existe une corrélation dynamique étroite entre la viscosité de l’encre, la température et la tension de buse. Leur état coordonné impacte directement la qualité d’impression (telle que la taille des gouttelettes, la précision d’impact, l’uniformité des couleurs) et la stabilité de l’équipement. Voici une explication systématique sous trois angles : concepts fondamentaux, mécanismes d’interaction et implications pratiques avec logique de régulation.

I. Concepts Fondamentaux et Fonctions Individuelles

1. Viscosité de l’Encre

La viscosité est une propriété physique mesurant la friction interne de l’encre, déterminant directement la facilité de son écoulement :

  • Viscosité excessivement élevée : L’encre a une fluidité médiocre et est sujette à obstruer la buse, empêchant l’éjection fluide des gouttelettes et menant à des problèmes comme les ruptures de lignes ou le manque d’encre.
  • Viscosité excessivement basse : L’encre est trop fluide et a tendance à s’étaler excessivement après éjection, ce qui peut résulter en un flou, un bavure des couleurs ou une fusion anormale des gouttelettes due à une tension de surface insuffisante.

2. Température

La température est un facteur clé pour réguler la viscosité de l’encre, son effet sur la viscosité suivant un schéma clair :

  • Augmentation de température → Mouvement accru des molécules d’encre → Affaiblissement des forces intermoléculaires → Réduction de viscosité (fluidité améliorée).
  • Diminution de température → Ralentissement du mouvement moléculaire → Renforcement des forces intermoléculaires → Augmentation de viscosité (fluidité diminuée).

Différents types d’encres varient dans leur sensibilité à la température. Par exemple, les encres aqueuses sont plus significativement affectées que les encres solvant et les encres UV.

3. Tension de Buse (Tension d’Entraînement)

La tension de buse détermine l’état d’éjection de l’encre en contrôlant l’intensité opérationnelle des composants centraux :

  • Pour les buses à cristal piézoélectrique : Tension augmentée → Déformation accrue du cristal → Vitesse et volume plus élevés des gouttelettes éjectées ; Tension diminuée → Déformation moindre → Vitesse et volume moindres des gouttelettes.
  • Pour les buses thermiques à bulle : Tension augmentée → Pression générée plus forte par les bulles thermiques → Énergie cinétique plus élevée des gouttelettes d’encre ; Tension diminuée → Pression plus faible → Énergie cinétique insuffisante des gouttelettes, pouvant causer des déviations d’impact.

II. Mécanisme d’Interaction : Équilibre Dynamique entre Force et Résistance

1. Corrélation Directe entre Température et Viscosité

La température est le facteur moteur central derrière les changements de viscosité, et il existe une corrélation négative significative entre les deux :

Lorsque la température ambiante augmente (par ex. de 25°C à 35°C), la viscosité d’une encre Epson faible solvant peut chuter de 4.2 cP à 3 cP ; lorsque l’encre solvant est refroidie de 25°C à 15°C, sa viscosité peut augmenter de 8 cP à 10 cP.
Cette corrélation est universelle. L’ordre de sensibilité à la température parmi les types d’encre (encre UV, encre aqueuse, encre solvant) est : encre UV > encre aqueuse > encre solvant, bien que la tendance de changement reste cohérente.

2. Logique d’Adaptation entre Viscosité et Tension de Buse

La tension de buse fournit la « force » pour l’éjection de l’encre, tandis que la viscosité représente la « résistance » à l’écoulement de l’encre. Elles doivent être adaptées dynamiquement :

  • Lorsque la viscosité augmente : La résistance à l’écoulement de l’encre s’accroît, donc la tension de buse doit être augmentée pour augmenter la force motrice, garantissant que les gouttelettes puissent vaincre la résistance et être éjectées sans problème.
  • Lorsque la viscosité diminue : La résistance de l’encre est réduite, donc la tension de buse devrait être diminuée pour affaiblir la force motrice, prévenant ainsi une diffusion incontrôlée des gouttelettes due à un excès de puissance.

III. Implications Pratiques et Logique de Régulation

1. Réaction en Chaîne : Température → Viscosité → Tension

L’effet en cascade de ces trois facteurs forme une voie de régulation claire :

  • Environnement à Haute Température (basse viscosité) :

Réaction en chaîne : Température ↑ → Viscosité ↓ → Fluidité d’encre excessivement élevée (basse résistance).

Exigence de tension : Maintenir la tension d’origine causerait facilement des gouttes trop grandes et trop rapides, entraînant un « flou », des « éclaboussures » ou des fuites de buse. Par conséquent, la tension doit être réduite (ex. dans l’état standard 25°C, 15 cP, 30V, lorsque la température monte à 35°C et que la viscosité chute à 10 cP, la tension doit être ajustée à 24-26V).

  • Environnement à Basse Température (haute viscosité) :

Réaction en chaîne : Température ↓ → Viscosité ↑ → Mauvaise fluidité de l’encre (haute résistance).

Exigence de tension : Maintenir la tension d’origine mènerait à une force motrice insuffisante, provoquant une éjection faible des gouttes et entraînant des ruptures ou des obstructions. Par conséquent, la tension doit être augmentée (ex. dans l’état standard 25°C, 15 cP, 30V, lorsque la température descend à 15°C et que la viscosité monte à 20 cP, la tension doit être ajustée à 34-36V).

2. Stratégie de Régulation Double sous Températures Extrêmes

Lorsque la température dépasse la plage conventionnelle (ultra haute > 40°C, ultra basse < 5°C), le simple réglage de la tension est insuffisant, et un équipement de contrôle de la température doit être utilisé :

  • Environnement Ultra-Haut en Température : La viscosité peut tomber en dessous de 8 cP. Même avec une tension réduite, un « effilochement » (incapacité à former des gouttelettes complètes) peut se produire. Il faut activer le dispositif de refroidissement pour stabiliser la température de l’encre, suivi d’un ajustement approprié de la tension.
  • Environnement Ultra-Bas en Température : La viscosité peut s’élever au-dessus de 30 cP. Même avec une tension accrue, les composants de buse (tels que les cristaux piézo) peuvent avoir une force motrice insuffisante en raison d’une réponse lente aux basses températures. Il faut réduire la viscosité en utilisant le dispositif de chauffage du circuit d’encre puis effectuer les ajustements de tension appropriés.

Résumé

La relation entre la viscosité de l’encre, la température et la tension de buse peut être résumée comme suit : La Température détermine la référence de viscosité, la Viscosité détermine l’exigence de tension, et la Tension régule finalement l’état des gouttelettes d’encre. La logique centrale est :

  • Montée en température → Diminution de viscosité → La Tension doit être baissée (pour éviter une force motrice excessive) ;
  • Descente en température → Augmentation de viscosité → La Tension doit être montée (pour compenser la résistance accrue).

Dans l’opération pratique, l’accent doit être mis sur l’objectif central de « maintenir la stabilité de la morphologie des gouttelettes d’encre ». La tension doit être ajustée dynamiquement en fonction des changements en temps réel de température et de viscosité, et un équipement de contrôle de la température doit être utilisé si nécessaire pour garantir la qualité d’impression et la stabilité de l’équipement.